Le supraspinatus |
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Position |
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- La main du patient doit être placée entre les deux omoplates.
- Ou bien, la paume de la main est placée sur la fesse homolatérale.
- Ou bien, le dos de la main est placé sur la fesse opposée (rotation interne forcée), et sans écarter le coude de la paroi thoracique pour mettre le supraspinatus en tension.
- Ou bien, on demande au patient d’attraper sa ceinture
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Technique |
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- La coupe coronale oblique s’effectue par voie supérieure (sonde perpendiculaire à la clavicule) en prenant le tendon du biceps comme repère.
- La coupe sagittale parallèle à la clavicule, avec balayage de l’ensemble du tendon
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Résultat |
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- Coronale oblique dans l’axe de ses fibres, le tendon apparait comme : |
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• Une structure homogène avec facette d’insertion régulière.
• Une structure faite de plusieurs couches d'échogénicité variable (myofibrilles et fibres tendineuses).
• Une structure avec un versant superficiel convexe vers le haut, faisant sa distinction avec le tendon infraspinatus. |
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- Sagittale oblique perpendiculaire à la précédente permettant l’analyse de l’intervalle des rotateurs : |
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• Le tendon du long biceps se situe entre les tendons subscapularis, supraspinatus et le tendon acromio-huméral.
• L'épaisseur du tendon supraspinatus mesurée au niveau de la fossette du col anatomique de l'humérus est comprise entre 3,5 et 7 mm.
• Le tendon devra s'amincir régulièrement depuis le col anatomique jusqu'à l'extrémité de la grande tubérosité humérale (2mm).
• Le ligament coraco-huméral et le gléno-huméral supérieur entourent la longue portion du biceps et forment le hamac ligamentaire de l’intervalle des rotateurs.
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