Généralités |
|
|
|
Avantages |
|
|
|
|
|
|
- Examen indolore, multiplanaire et non irradiant.
- De faible coût et disponible.
- Examen qui permet : |
|
|
• Une étude statique, bilatérale et comparative.
• Une étude dynamique avec recherche des conflits.
• Une étude de la microvascularisation des tissus grâce au Doppler énergie.
• Une réalisation des gestes écho-guidées (ponctions, infiltrations des bourses, aspirations des tendinopathies calcifiantes, …) en cas d’indication.
|
|
|
|
Limites |
|
|
|
|
|
|
- L’examen est opérateur dépendant.
- L’analyse partielle des différents éléments anatomiques.
- L’involution graisseuse musculaire.
- L’obésité.
- L’analyse de l’os. |
|
|
|
Images pièges |
|
|
|
|
|
|
- L’artéfact d’anisotropie |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
:Il se manifeste par des fausses images hypoéchogènes dès que la sonde n’est plus strictement perpendiculaire au trajet tendineux.
Pour ce, il est impératif que la sonde soit perpendiculaire à l’axe des fibres. L’aspect pathologique ne doit être retenu que s’il est retrouvé sur les deux plans de coupe.
|
|
- Les fibres musculaires existantes au sein des tendons chez les patients musclés peuvent donner de fausses images de clivage. Pour ce, il faut réaliser des manœuvres dynamiques.
- L’excès de rotation interne du bras peut masquer une rupture antérieure (portion tendineuse sous la coracoïde).
- L’adduction insuffisante du bras peut méconnaitre une rupture à distance de l’insertion, au niveau de la jonction myotendineuse.
- L’amincissement du tendon (< 3mm) peut être en rapport avec des séquelles de luxation ou une polyarthrite rhumatoïde, sans qu’il y ait pour autant une rupture.
- La rupture du supraspinatus peut être simulée par l’interface entre ce dernier et l’infraspinatus sur les coupes frontales postérieures du supraspinatus.
|
|
|
|
Appareillage |
|
L’examen par ultrasons est idéalement réalisé à l’aide d’une sonde barrette linéaire de haute fréquence, minimum 7 MHZ, la plus large possible |
|
|